Dans la chaleur de l'été

Un historique de toutes nos réunions

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mercredi 9 juillet 2025

La voix du secrétaire (Jean)

Présents à la réunion, en fonction de la disposition autour de la table :

Laurent (B),
Emmanuel,
Sylvain,
moi,
et Kai.

Nous avons mangé des pizzas soleil et calzone sans fromage, des aubergines au parmesan, une coupe colonel, une glace vanille-pistache avec de la crème Chantilly sans chocolat, une tarte Tatin et un tiramisu. Nous avons bu de l'orangina (une canette aux couleurs du Tour de France, pas une bouteille) et de la bière.

Nous avons parlé de Perl, Internet informatique et points divers.

Perl

Le jour même de la réunion, nous avons appris la mort de MST.
Nous évoquons les podcasts produits par BooK depuis quelques mois. L'un d'eux concerne les mascottes de Perl (à ne pas confondre avec les logos de Perl). Un autre fait le point sur les conventions envisagées pour les numéros de version de Perl.
La toute nouvelle version de Perl ne sera pas Perl 42.0, comme cela avait été envisagé, mais Perl 5.42.0, dans la lignée des versions précédentes. Un P5P a signalé que pour un logiciel développé sous Github, il vaut mieux éviter d'adopter des numéros de version qui suivent une règle bizarroïde. Si cela peut paraître anodin et amusant au début, il viendra toujours un moment où les développeurs s'en mordront les doigts.
Si ce n'est pas la version Perl 42.0 qui inaugurera la nouvelle codification des numéros de version, est-ce la version Perl 44.0 qui le fera ? Ce n'est pas sûr. Pour un tel changement, il faut une très bonne raison, comme l'apparition d'une fonctionnalité majeure. Or, que peut-on envisager comme fonctionnalité suffisamment majeure pour justifier une nouvelle codification des numéros de version ? [ J'en vois bien une, Corinna. Avec des contre-arguments, toutefois. Tout d'abord, le déploiement de la première version de Corinna a déjà eu lieu, avec la version 5.38.0. Ensuite, il s'agissait d'un développement incrémental avec une première version délibérément incomplète, donc que l'on aurait eu du mal à présenter comme majeure. Et les versions ultérieures, pour Perl 5.40.0 et 5.42.0 ne méritent pas non plus individuellement le qualificatif « majeure », alors que cumulativement c'est une modification majeure. Tant pis. ]
Kai ayant du temps libre, Emmanuel lui suggère de s'atteler à la réécriture de ACT. Kai tente de botter en touche avec le dicton
Si c'est pas cassé, faut pas réparer.
Même si l'on arrive à faire fonctionner le site web, il est indéniable qu'il y a des éléments cassés. L'interpréteur Perl utilisé dans ACT est une version ancienne et patchée, donc on peut penser que certaines failles de sécurité n'ont pas été comblées. Si le HTML statique et la base de données sont parfaitement compatibles avec Unicode, le HTML dynamique, de son côté, a des problèmes avec l'UTF-8, notamment avec les diacritiques allemands. C'est dommage, car sur les trois événements de 2025 utilisant ACT, il y a le German Perl Workshop. Le wiki inclus dans ACT n'a pas connu le succès de Markdown ou de Mediawiki. Finalement, il n'y a pas d'API REST, ce qui rend ACT incompatible avec les téléphones et les tablettes.
Dans un premier temps, Kai pourrait se limiter à programmer un gestionnaire de réunions, sans chercher à implémenter tout de suite la gestion des exposés et des horaires. Cela arrangerait bien le groupe Toronto.pm, qui utilisait le site Meetup pour leurs réunions, jusqu'au moment où ce site est devenu payant.
Laurent a constaté un problème dans la version courante. L'interface web ne permet pas à un utilisateur de modifier son mot de passe. Il est toutefois possible de le faire en calculant le hachage du mot de passe et en mettant la base de données à jour par SQL. Évitons de donner cette possibilité aux utilisateurs lambdas.
Il existe un adage de programmation se paraphrasant ainsi :
Pour débuguer un programme, il faut être deux fois plus talentueux, deux fois plus expérimenté, deux fois plus astucieux, deux fois plus inventif, deux fois plus sioux que celui qui a écrit le programme. Donc si lors de l'écriture initiale du programme, vous utilisez tous les trucs et toutes les astuces que vous connaissez, alors vous êtes inaptes à la maintenance et au débugage du programme que vous avez écrit.
Le code source de ACT est une parfaite illustration de cet adage. Je ne donnerai pas le nom ni des liens pour indiquer la personne visée, pour éviter que les moteurs de recherche et les LLM l'identifient. Mais tous les humains qui connaissent bien le Paris.pm de 2004 ont deviné de qui il était question.
Kai mentionne un écueil qui menace la réécriture d'ACT, l'« effet du second système ». Lorsque l'on entreprend la réécriture d'une application ou d'un système, on sait quelles sont les fonctionnalités cruciales, quelles sont les fonctionnalités indispensables, quelles sont les fonctionnalités utiles, les fonctionnalités souhaitables, les fonctionnalités de confort et les fonctionnalités superflues. Le chef de projet ou le comité de projet décide d'incorporer dans la nouvelle application toutes les fonctionnalités recensées sauf les fonctionnalités strictement superflues. Le résultat est un logiciel lourd, pesant, malcommode, pire à de nombreux points de vue que la version origine.
[ Une autre façon d'envisager l'« effet du second système » est de considérer que le premier système a été la version écrite par Sylvain en 2003 pour YAPC::EU 2003 et que le second système est celui qui a été écrit en 2004 et qui a été utilisé depuis par de nombreuses conférences Ainsi, la réécriture de ACT serait un « troisième système » bénéficiant des retours d'expérience du « second système ». ]
Comme il l'a déjà raconté précédemment, Sylvain est régulièrement contacté pour des formations PERL, c'est-à-dire pour des Personnes Exposées aux Risques Laser. Maintenant, il est habitué, il comprend rapidement que le menuisier vosgien qui l'appelle pour une formation n'est pas du tout intéressé par la programmation.

Internet

Pour éviter les abus et les débordements, il est difficile de créer une page Wikipedia pour une personne vivante. Kai possède un compte de correcteur / éditeur de Wikipedia, mais même lui n'est pas en mesure de créer simplement une page pour une personne. Il connaît quelqu'un qui mériterait d'avoir sa page Wikipedia, mais comme cette personne n'est pas citée dans une publication existante, Wikipedia refuse de créer la page correspondante.
Nous suggérons à Kai une manip pour disposer d'une page Wikipedia à son nom. Il demande une page existante, puis il clique sur "éditer" et il lance
```
1,$s/Louis Pasteur/Kai C/g
```
Non seulement il a une page à son sujet, mais en plus il bénéficie d'une biographie brillante et abondante.
Pour quitter le culte de la personnalité et pour revenir à Perl, signalons que si la nouvelle codification des numéros de version se met en place, la mise à jour de la page Wikipedia de Perl se ferait simplement par :
```
1,$s/Perl 5\./Perl /g
```
Je vois toutefois des problèmes pour les références à Perl 5.6.x.

Informatique

Kai vient de passer un examen d'informatique de niveau bac+3. Si je me souviens bien, c'était un examen pour être CAD, c'est-à-dire concepteur d'applications (et je ne me souviens pas de la signification du « D »). Au sujet de cet examen, il y avait la méthode UML et, ce qui évoque des souvenirs aux plus vieux d'entre nous, la méthode Merise. À l'issue de l'épreuve pratique de l'après-midi, les membres du jury ont demandé à Kai pourquoi il n'avait pas utilisé une troisième méthode dont je n'ai pas retenu le nom.
Utiliser un framework pour construire une application permet de gagner du temps. Mais ensuite, lorsque le client demande des évolutions, un programmeur est-il capable de retrouver ses petits dans les fichiers sources générés ?
Emmanuel a un téléphone portable qui, à première vue, semble commun. Toutefois, ce téléphone comporte un clavier coulissant, habituellement escamoté sous l'écran. Emmanuel estime qu'il passe plus de temps à écrire avec son téléphone qu'à parler dedans, d'où l'utilité du clavier.
Il y a d'autres solutions pour disposer d'un véritable clavier avec son téléphone. La solution la plus connue est le clavier Bluetooth. Il existe également des claviers que l'on peut brancher à la base du téléphone pour retrouver l'allure des anciens Blackberry.
Toujours à propos des claviers, notons que Kai a été très gêné lors de son examen. Il est habitué depuis des décennies à utiliser un clavier QWERTY. Or, le jour de l'examen, le PC qu'il utilisait était configuré en AZERTY et Kai n'a pas réussi à changer la configuration. Quelqu'un a fait remarquer que cela aurait été pire si le clavier avait été configuré en Dvorak. Je ne suis pas d'accord avec cette remarque. Il est plus pénible de travailler sur un clavier AZERTY lorsque l'on est habitué aux claviers QWERTY que de travailler sur un clavier Dvorak lorsque l'on est habitué aux claviers QWERTY. Voir en annexe l'illustration avec mon cas, inverse de celui de Kai, car je suis habitué aux claviers AZERTY.

Divers

Avec le mois du juillet, c'est le retour des touristes dans la ville qui est, dit-on, la principale destination touristique mondiale, Paris. Un effet secondaire de cette notoriété est que certains touristes sont déçus de leur visite à Paris. Il existerait même un mot japonais pour désigner la déception d'un touriste après sa visite spécifiquement à Paris
Chez nous, l'Allemagne a une solide réputation d'ordre et d'efficacité. Toutefois, ceux qui ont déjà pris le train en Allemagne savent que ce n'est pas vrai. Demandez par exemple à Laurent comment s'est passé son trajet pour Francfort, à l'occasion de YAPC::EU 2012, où les pannes, retards et annulations se sont traduits par le fait qu'il a emprunté quatre trains successifs pour arriver à Francfort. C'était à peine mieux pour aller au PTS 2025 à Leipzig.
Lorsque l'on compare avec la SNCF, elle aussi sujette à de nombreux incidents et de nombreux retards, force est de constater qu'à chaque fois, la Bundesbahn est désemparée lorsqu'un incident survient, tandis que la SNCF sait y répondre de façon appropriée et que les usagers ne sont pas aussi gênés. [ Les usagers français doivent-ils s'en réjouir ou s'en inquiéter ? À première vue, les usagers de la SNCF sont mieux lotis que les usagers de la Bundesbahn. En y réfléchissant un peu, cela signifie qu'au fil des ans, la SNCF a accumulé une bonne dose d'expérience sur ce sujet et qu'elle a ainsi pu créer des procédures de traitement d'incidents, puis les améliorer et les peaufiner. C'est-à-dire que la SNCF a une culture de l'échec. ]
Un autre exemple où les usagers de la SNCF sont moins gênés que ceux de la Bundesbahn : lorsque la Bundesbahn émet un billet, le numéro de quai est imprimé sur ce billet, même s'il s'agit d'un billet pour un voyage dans plusieurs semaines. Lorsque vient le jour et l'heure du trajet, les contraintes de service peuvent amener la gare à faire partir le train d'un autre quai. Les voyageurs doivent alors quitter le quai initialement prévu, revenir au hall central puis se diriger vers le quai réel. À l'inverse, la SNCF n'annonce pas de quai à l'avance. Le quai réel est affiché lorsque le train est prêt, quelques dizaines de minutes avant le départ du train. Les usagers attendent dans le hall central devant un panneau d'affichage, ils ont donc moins de chemin à parcourir pour rejoindre ce quai et ils n'ont pas l'impression d'avoir été menés en bateau.
Un autre pays avec une réputation d'efficacité et d'exactitude, mais cette fois-ci justifiée, la Suisse. Le principal problème du réseau ferré suisse est que certains trains proviennent d'Allemagne et sont souvent en retard. Le problème de retard des trains allemands est tel que les Suisses refusent dorénavant l'entrée en Suisse des trains en retard.
Avec la météo caniculaire de ces derniers jours, nous devons adapter nos comportements pour rechercher la fraîcheur. On pense évidemment à aérer son logement le matin pour profiter de l'air frais et à fermer les fenêtres l'après-midi lorsque l'air est plus chaud. Mais pense-t-on à modifier ses habitudes alimentaires ? Il faut garder présent à l'esprit que les fours et les cuisinières ont des effets secondaires outre la cuisson des aliments, ils réchauffent l'atmosphère de la cuisine et des pièces voisines. En abandonnant pour quelques semaines les tartes et les ragoûts et en privilégiant les légumes crus, cela permet de conserver un peu de fraîcheur dans la maison.
Peut-on aller plus loin dans cette direction ? Si certaines cuissons (viande, pommes de terre, pâte à tarte) occasionnent des réactions chimiques, d'autres cuissons servent simplement à élever la température et pourraient être évitées lors d'épisodes caniculaires. Ainsi, peut-on préparer des nouilles à l'eau tiède au lieu de les plonger dans l'eau bouillante, quitte à attendre plus longtemps ? Peut-on même envisager de les préparer en les plongeant dans de l'eau à température ambiante ? [ J'ai fait l'expérience avec de l'eau à température ambiante. Le goût est assez différent des pâtes préparées dans l'eau bouillante, mais c'est tout-à-fait mangeable. Les goûts étant personnels, vous pouvez avoir une opinion différente. ]
Laurent travaille chez Thales, sur le site de Limours. Lorsque des futurs embauchés visitent le site, ils peuvent voir des radars en cours d'assemblage. C'est tout de suite plus intéressant que la visite d'un site qui ne comporte que des bureaux et des salles de réunion.
Il y a bien longtemps, j'étais dans une situation assez semblable. Mon employeur de l'époque m'avait envoyé sur le site de Vernon de la Société Européenne de Propulsion (ultérieurement absorbée par la SNECMA). Sur le chemin entre le bureau et la cantine, il y avait un bâtiment où des techniciens préparaient des satellites. Nous ne manquions de jeter un coup d'œil sur les satellites tous les midis... sauf lorsque les techniciens avaient la consigne de tirer les rideaux pour éviter les regards des « touristes ».

Annexe : au sujet des claviers

C'est en 1995 que j'ai appris par moi-même à taper sur un clavier AZERTY en regardant l'écran plutôt que le clavier. Je devrais taper avec 10 doigts, mais en pratique je n'utilise pas les auriculaires et c'est toujours le même pouce qui tape sur la barre d'espace. Je tape en fait avec sept doigts. Le pavé AZERTY d'un clavier fait dans les 28 cm et si l'on ajoute les flèches de curseur et le pavé numérique, le clavier fait dans les 44 cm. Chaque touche fait au moins 18 mm de large.
J'ai eu une tablette en 2015 avec un clavier virtuel AZERTY. Pour expérimenter, j'ai cherché si je pouvais trouver un clavier virtuel BEPO ou Dvorak. BEPO, je n'ai pas trouvé, mais j'ai trouvé et installé un clavier virtuel Dvorak. Avec une largeur de 14 cm pour la tablette actuelle, je tape avec un seul index (appréciable lorsque j'ai des problèmes avec une main).
Jusqu'à présent, je n'ai pas eu de clavier physique Dvorak s'étendant sur 28 ou 44 cm avec des touches individuelles de 18 mm. Néanmoins, si j'en avais un à ma disposition, je pense que je pourrais rapidement être efficace avec ce clavier, comme en 1995. Compte tenu de cela, la discussion ci-dessous utilise le clavier BEPO comme clavier inconnu au lieu du clavier Dvorak.
La discussion ci-dessous utilise des concepts de neurophysiologie. Il ne s'agit pas de résultats obtenus par des scientifiques sérieux. Il faut y voir une métaphore et rien de plus.
Dans l'encéphale, il y a tout d'abord le lobe frontal du cerveau, qui s'occupe des tâches créatives et intellectuelles. Il y a le cervelet, chargé des tâches simples et répétitives, comme la marche, le vélo et tout ce que les anglo-saxons regroupent dans l'expression muscle memory. Et il y a le cortex visuel, qui effectue du traitement d'image.
Lorsque je tape sur un clavier AZERTY physique, par exemple la ligne use strict; c'est le cervelet qui lance l'index droit sur « u », puis l'annulaire gauche sur « s », le majeur gauche sur « e », le pouce sur la barre d'espace et ainsi de suite. Pendant ce temps, le lobe frontal du cerveau planifie la ligne use warnings; tout en s'assurant auprès du cortex visuel qu'il n'y a pas de faute de frappe sur la ligne en cours.
Si je tape « à l'aveuglette » sur le clavier de mon PC, à l'inverse, sur la tablette, je continue à regarder les touches du clavier virtuel. Il y a deux raisons pour cela. D'une part les touches virtuelles ont une largeur de 10 mm, ce qui est trop étroit pour la précision limitée des mouvements guidés par mon cervelet. D'autre part, le clavier virtuel est très proche de la fenêtre de texte, un léger mouvement des yeux permet de passer de l'un à l'autre.
Parmi ceux qui utilisent un clavier AZERTY et qui continuent à regarder les touches du clavier, certains ont quand même des automatismes latents. Voir l'anecdote racontée il y a un an par Laurent.
Sur un clavier inconnu comme le BEPO pour moi ou Dvorak pour Kai, c'est le lobe frontal qui
1. s'enquiert auprès du cortex visuel de la position du « u » sur le clavier,
2. transmet cette position au cervelet pour y lancer un index,
3. s'enquiert auprès du cortex visuel de la position du « s »
4. transmet cette nouvelle position au cervelet,
et ainsi de suite pour chaque caractère de la ligne. Il a à peine le temps de penser au use warnings de la ligne suivante.
Si je tape sur un clavier QWERTY, mon cerveau commence en mode « clavier inconnu » avec le lobe frontal traitant successivement le « u », le « s » et le « e ». Puis l'encéphale constate que cela correspond aux circuits neuronaux du cervelet traitant des claviers AZERTY. Le cerveau passe alors inconsciemment en mode « clavier AZERTY ». Le cervelet termine la ligne et tape la ligne suivante, use zqrnings; Le cortex visuel lance un coup de sifflet et le lobe frontal passe brutalement en mode « clavier inconnu, correction de faute de frappe ». Une fois l'erreur corrigée, le lobe frontal passe en mode « clavier inconnu, saisie au kilomètre » puis, de nouveau inconsciemment, en mode « clavier AZERTY, saisie au kilomètre »... jusqu'au coup de sifflet suivant du cortex visuel. Ce sont ces changements de mode fréquents et brutaux qui rendent pénible l'utilisation d'un clavier QWERTY par une personne habituée aux claviers AZERTY ou l'utilisation d'un clavier AZERTY par une personne habituée aux claviers QWERTY. J'ai déjà raconté cette anecdote il y a un an.
Dans l'explication ci-dessus, j'ai éludé le fait qu'il y a aussi une faute de frappe lorsque l'on tape le point-virgule à la fin de la ligne. J'espère que vous ne m'en tiendrez pas rigueur.